Il fallait protéger le piémont des Albères, et aussi préserver la vue sur les montagnes, sans vilains lotissements, pour les heureux notables de l’avenue des Mas Catalans. La municipalité a alors « trouvé » le PAEN.
Mais à l’enquête publique, le commissaire enquêteur a
objecté qu’un PAEN est un projet global, pas seulement pour quelques vignes
abandonnées.
Et voici comment on en est arrivé à une usine à gaz.
Si, comme le soutien la municipalité, c’est si bien la
protection des zones agricoles, pourquoi serions-nous à Laroque des
« derniers des Mohicans ». Pourquoi protéger des terres de vigne à
Laroque alors que les meilleures terres du département, à Elne et Argelès sur
mer notamment, sont bétonnées ?
Si c’est si bien que ça le PAEN, il doit aller d’Argelès à Ceret… Tous les conseils municipaux doivent le voter
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