samedi 30 novembre 2013

"devenir calife à la place du calife"

« Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. »

Wikipedia

Au temps des Mille et une nuits, Haroun el-Poussah est le calife bien-aimé de Bagdad, et Iznogoud son dévoué vizir. Iznogoud est assisté de Dilat Laraht, son homme à tout faire. Iznogoud a une idée fixe : « devenir calife à la place du calife ! ». Si le calife est débonnaire, Iznogoud est un concentré de cruauté et d'égoïsme. Chacune de ses tentatives pour destituer le calife se solde irrémédiablement par une catastrophe l'expédiant dans une situation inextricable, ce qui n'empêche pas de le retrouver dans ses fonctions comme si de rien n'était à l'épisode suivant. Le calife, quant à lui, ne se rend jamais compte de rien. Le contraste entre ces deux personnages ainsi que la malchance du vizir dans l'exécution de ses complots machiavéliques et retors sont les principaux ressorts comiques de la série. En outre, on retrouve dans Iznogoud la « patte » de Goscinny, mélange de références culturelles et historiques décalées (notamment les maires du palais et les rois fainéants), de jeux de mots sur les noms des personnages, et de multiples calembours.


Personnages principaux
  • Le Grand Vizir Iznogoud : le protagoniste et héros/anti-héros de la série est le grand vizir de Bagdad. Iznogoud possède presque tous les défauts existants : cruel, avare, égoïste, colérique et hargneux. Obsédé par l'idée de devenir « calife à la place du calife », il tente d'y parvenir par tous les moyens, mais sans jamais réussir. Homme de petite taille, il est la terreur de presque tout Bagdad, qui le déteste. Le nom Iznogoud est la francisation de l'expression anglophone « he's no good » (il n'est pas bon), expression qui prend tout son relief lorsque le calife qualifie son grand vizir de « mon bon Iznogoud »
  • Le Calife Haroun El Poussah : à l'origine, c'est le héros de la série, en dépit de sa passivité. Oisif et débonnaire, le calife de Bagdad est apprécié de son peuple. Alors que tout Bagdad connaît les viles ambitions d'Iznogoud, le naïf calife est seul à croire en la fidélité de son grand vizir qu'il appelle « mon bon Iznogoud » et en qui il met toute sa confiance. Dans chaque épisode, une chance extraordinaire, ou encore la stupidité d'Iznogoud lui permettent de survivre aux attentats de son grand vizir et de conserver son trône sans même se rendre compte du danger auquel il a échappé.

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